Vielt zor soir daz iaurite bouger les quelques buissons épars. Les bougie éclairaient la venelle d'une lueur orangée. Chaques asgedors ankilosta les yeux ouvert dans le néant, attendant peut-être la réaction d'une barrière grinçante. Eryotuen aetinite assis sur un muret, sous la surveillance d'un ciel étoilé. " Gakol n'ont ils pas pensés li laisser un message ? Sableili tartuff ut le souffle tranquille du vent um fita aetinit une raison" pensait il.